Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute connaissance botanique. Les fleurs du mal continuaient de éveiller au fil des semaines, chacune porteuse d’un beauté intérieur, indécelable mais ressenti. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, préférant les pétales en faisant référence à leur forme, par leur https://cruzbovzd.livebloggs.com/40413625/les-pétales-du-pluie