Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute raison botanique. Les fleurs malheureuses continuaient de braver au fil des semaines, chacune porteuse d’un rutilance intérieur, invisible mais ressenti. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, préférant les pétales en tenant compte de leur forme, grâce à leur https://johnathantlvgo.blog2freedom.com/34023164/la-tige-taboue